lundi 16 décembre 2013

Las Condes, le quartier d'affaire de Santiago


Las Condes, le quartier d'affaire de Santiago


Je suis Josélito Tirados et je suis business developer.

Durant l’année 2013, je suis parti avec mon épouse en Amérique du sud afin de mieux connaître certains pays du sous-continent.

L’objectif ? Nous installer en Amérique du sud à moyen terme.

Entreprendre étant une seconde nature, durant tout le voyage d’une durée de 9 mois, j’ai fais en sorte de rencontrer des entrepreneurs de différents pays.

Après 32 000 kilomètres et 6 pays visités (Chili, Argentine, Pérou, Bolivie, Equateur et Colombie), c’est surtout le Chili qui a retenu mon attention.

Le Chili ne compte « que » 18 000 000 d’habitants vivant essentiellement en plein milieu du pays. Santiago, la capitale compte près de 5 millions d’habitants.

Il existe au Chili un organisme d’état similaire à OSEO en France qui est le CORFO.
Le CORFO finance bien évidement la r&d (recherche et développement) des entreprises.

Comme en France, le CORFO finance des projets assez importants. Toutefois il existe un programme à destination des start up. Il s’agit de « start up Chile ».




Initié en 2010 avec au départ 22 start up, ce programme va aider et financer 1000 start up en 2014 !

Fonctionnement du programme Start up chile.

Start up Chile est un programme ouvert à tous les habitants de cette planète. En tant que Français, vous pouvez parfaitement aller faire grandir votre projet là bas.

Comment ça marche ?

C’est simple. Vous présentez votre projet (en anglais) à un jury. Si celui ci est retenu, vous entrez dans un cursus qui va durer six mois.

Six mois que vous allez passer à Santiago en compagnie d’autres startupers.
Vous bénéficiez d’un programme complet de formation à l’entreprenariat et vous baignez dans un éco système entièrement tourné vers le développement de votre projet.

Vous avez l’obligation de suivre des cours avec des serials entrepreneurs ; Vous participez à des rencontres hebdomadaires et vous devez publier des articles concernant votre projet et son environnement.

Tout au long des six mois vous êtes suivi, encadré, et entouré de la crème de l’entreprenariat. Bref vous n’êtes pas seul !

Mais ce n’est pas tout. Vous allez bien évidement profiter de 40 000 $ US pour lancer votre business.

A ce stade, votre engagement financier est de 2% du montant de votre projet (avec  ce maximum de 40 000 $ US).

Le Chili, nouvel eldorado des entrepreneurs ?

Le Chili a en tout cas une politique ambitieuse dans le domaine de l’innovation. L’objectif affiché est de devenir LA référence en terme d’innovation d’Amérique du sud.

Ce qui m’a plu dans ce programme est le fait que l’état ne donne pas juste une somme d’argent comme c’est trop souvent le cas en France avec les plateforme d’initiatives locales (PFIL) par exemple.

Il y a tout un accompagnement pointu durant six mois. Six est, à mon sens, une bonne durée pour voir aboutir une idée.

Et en France ?

En France il existe plusieurs programmes, concepts, associations pour aider l’entrepreneur.
Pour ma part, j’ai testé une plateforme d’initiative locale. Grosse déception car les promesses ne sont pas tenues en terme d’accompagnement.

Ce qui me semble être le plus proche du concept de startup Chile est « Le camping» sur Paris. La différence est qu’il n’y a pas cette enveloppe de départ et que le nombre de startup est de 12 au lieu de 1000.

En conclusion : le concept Ycombinator en provenance de la silicon valley essaime à travers le monde et c’est une excellente chose.

Pour aller plus loin :









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vendredi 29 novembre 2013

La bulle publicitaire doit éclater

Le modèle économique des startups basé sur la publicité arrive à saturation. Les utilisateurs qui ne sont pas les clients, mais les produits dans ces modèles utilisent de plus en plus des parades pour ne plus voir de publicité.


Moi-même, je sature car cette publicité sensée être mieux ciblée par toutes les données personnelles que l'on me demande n'atteint pas son objectif. Dans le même temps, ce modèle a habitué les utilisateurs à la gratuité qu'ils ne veulent pas lâcher à n'importe quel prix.


Or le modèle freemium, basé sur un forfait gratuit puis sur des forfaits payants, marche mais pas de façon optimisé, car l'utilisateur n'a pas l'impression d'en avoir pour son argent. De plus, ces forfaits sont des forfaits limités. J'ai fait un calcul très simple en me basant sur Facebook, Hootsuite, Scoopit, Viadeo et Linkedin au minimum, les forfaits payants en prix de base reviennent en cumulé à plus de 50 € par mois par personne. Je n'ai pas mis les forfaits Twitter qui ne concerne pas encore la France.


Face à la centaine de services existants, ceci n'est qu'un minimum. Il ne faut pas oublier que la presse propose aussi des forfaits, certains sites simplement pour donner son avis. En dehors des multiples connexions qui font perdre du temps, l'utilisateur ne perçoit aucune valeur ajoutée quand il paie. Le créneau de Xavier Niel est de diviser par 2 la facture, je reprends à mon compte celui-ci pour faire éclater la bulle publicitaire et son corollaire qui est son modèle économique.


Networkvb choisira un modèle économique basé sur l'utilisateur, qui ne sera plus considéré comme un produit, en contrepartie sa valeur ajoutée sera développée pour lui-même : un forfait mensuel unique et universel en illimité.



La valorisation de ses entreprises à coup de milliards ne se base pas sur le service rendu mais sur la taille de la base de données utilisateurs. Là où je suis d'accord avec " ce système " c'est la valeur de chaque donnée qu'on laisse sur le Web.







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lundi 21 octobre 2013

21 : Le phoenix de Network Virtual Business

Ce jour est un symbole à titre personnel et à titre professionnel.


Dans le premier cas, en dehors du fait que je suis né un 21 mars, il y a aussi le 21 octobre le jour de la Sainte Céline, bonne fête à toutes les Céline de France, de Navarre et du Monde, souvenir trentenaire d'une amie d'enfance perdue de vue.


Dans le second cas, il y aussi le 21 octobre le jour où tout a basculé avec ma rencontre de Microsoft France et mon choix de venir à Euratechnologies Lille, c'était il y a deux ans. Mais il y a aussi le 21 juin et la convention que j'ai signé avec Optéos une coopérative d'activités et d'emplois il y a 4 mois avec il y a un mois la resignature pour 3 mois, ce qui me permet aujourd'hui de vous parler du projet, donc le 21 décembre sera la fin de cette nouvelle étape.


Mars, juin, septembre, octobre, décembre : chaque saison est une étape supplémentaire : hasard du calendrier, volonté symbolique d'une osmose avec la nature pour une recherche d'équilibre. Je ne me pose pas ce type de question : j'y vais, je fais et c'est tout. J'avance à mon rythme et avec mes propres repères, ayez les vôtres.


Il faut savoir que toutes ses dates ont quelque chose en commun : une rencontre virtuelle, à l'exception notable de mon souvenir d'enfance trentenaire, c'est ce dernier qui m'a permis de me battre depuis tout ce temps et de réussir de magnifiques choses. La rencontre réelle quand elle a eu lieu s'est faite après. Dernièrement, je faisais le constat que c'est avec des personnes non encore rencontrées que je discutais le plus


Ces dates sont autant de renaissances, c'est aussi la reconnaissance de ceux qui m'ont aidé à être ce que je suis, à commencer par mes parents, ma famille, mes amis et mes ennemis. Derrière chaque date, il y a de magnifiques rencontres, virtuelles et/ou réelles, pour réaliser cette première pierre d'un édifice qui se construira ensemble avec vous.




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lundi 14 octobre 2013

Crowdfunding : débat passionnel, de quoi parle-t-on ?

Crowdfunding ou financement participatif en français. Le gouvernement en voulant légiférer a ouvert la boîte de Pandore. Avant de m'intéresser au sujet, j'ai toujours cru qu'il existait un seul modèle. Au début des débats, l'économie du Web n'a jamais fait le distingo non plus. Il n'y a que récemment que l'on commence à voir dans différents articles les différents modèles et ceux qui sont concernés.


Il existe donc 3 modèles de crowdfunding, je m'appuie sur un document transmis par l'un des acteurs, SMARTANGELS, que j'ai rencontré la semaine dernière lors d'une conférence à Euratechnologies :

Le modèle originaire basé sur le don (My Major Company, KissKissBankBank, Ulule) Le modèle basé sur le prêt (Babyloan, Prêt d'Union, Spear) Le modèle basé sur la prise de participation en capital (Smartangels, Wiseed, MyMicroInvest)


Ce ne sont que les deux derniers modèles qui sont concernés par le projet de loi, en aucun cas le modèle originaire.


A la base, Networkvb voulait utiliser les services de MyMicroInvest, une plate-forme belge, pour financer la suite de son projet. Face au débat actuel en France et donc à la découverte des différents modèles, j'ai découvert un intérêt particulier pour l'ensemble des modèles, tout particulièrement pour le modèle originaire, grâce à ma rencontre avec Ulule qui a démarré la semaine dernière un tour de France et qui s'est arrêté à Lille. Il faut savoir que le projet record chez Ulule a obtenu la somme de 681.046 euros, donc au-delà des limites fixées dans le modèle basé sur les prêts, limite qui est à l'heure actuelle de 300.000 euros pour informations.


Le débat passionnel se focalise surtout sur le modèle basé sur le prêt car le renforcement de la législation accentue surtout ses efforts sur ce modèle avec des restrictions qui semblent excessives. 250 euros par personne et par projet, c'est en effet très peu. De plus, une somme plafond à 300.000 euros a été fixée pour bénéficier de la simplification des démarches. Il est évident que le lobbying des banques a joué pleinement son rôle.


Les acteurs du modèle basé sur la prise de participation en capital semblent se satisfaire davantage des premiers éléments du projet de loi même s'ils affirment qu'il peut être perfectible. Il faut savoir que ce sont ses mêmes acteurs qui étaient demandeurs d'une législation dans ce domaine. Je n'ai pas eu d'éléments chiffrés clairs pour ce modèle.


A ce jour, Networkvb utilisera dans un premier temps la plate-forme Ulule avec une opération avant la fin de l'année, puis la plate-forme MyMicroInvest par la suite pour ne pas être contraint par le changement de législation en cours en France. Par ailleurs, BNP Paribas partenaire du Ulule Tour est ouvert aux porteurs de projet utilisant le crowdfunding originaire. Si on leur dit que l'on va utiliser une plate-forme étrangère de crowdfunding pour éviter la législation française, ils sont légèrement gênés.


Passer par le crowdfunding est une solution parmi d'autres. Networkvb va l'utiliser pour renforcer ses atouts auprès des interlocuteurs traditionnels du financement : les banques, les business angels et les VCs. Networkvb a défini 5 modes de financement différents avec un équilibre entre le haut de bilan (capital social de l'entreprise ou fonds propres) et le bas de bilan (créances, prêts) : le haut de bilan finance les investissements (long terme), le bas de bilan finance le cycle d'activité (court terme).


On compare facilement avec les USA : ce n'est pas du tout le même environnement la même culture. Ce n'est pas parce que vous pouvez avoir des millions aux USA que vous allez réussir, la taille du marché n'est pas la même. Si vous voulez la même taille de marché, alors il faut vous battre au niveau européen, pas au niveau français. Réussir avec moins, c'est être plus innovant et plus productif, donc proposer un projet plus rentable. Nous savons tous que les montants des entrées en Bourse cache à plus ou moins brève échéance l'éclatement d'une bulle.


Pour conclure, je dirai que cette réforme a été mal préparée sans vision globale et sans volonté d'amener la réflexion au niveau européen pour avoir une cohérence d'ensemble et éviter de devoir revenir dessus plus tard. A titre personnel, je dirai qu'il est primordial de faire ses choix en évitant toute dépendance de son activité sur le bon vouloir du politique. En Europe, on a un avantage formidable, pour faire bouger les choses il faut simplement changer de pays. Si ma campagne de crowdfunding avec MyMicroInvest me conduit à créer une structure juridique en Belgique pour éviter tout litige juridique, je n'hésiterai pas une seule seconde.




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mardi 8 octobre 2013

Référencement : une mort annoncée ou véritable valeur ?

Le Web va changer dans les prochaines années : tout est prêt, l'utilisateur aussi ?


Jusqu'à aujourd'hui, je n'ai jamais fait quoique ce soit pour améliorer mon référencement. J'ai toujours trouvé les infos que j'avais besoin. Pour moi, il existe trois types de référencement :

SEO , référencement naturel
SMO , référencement social
SWF (Semantic Web Finder) ou SLDO (Search Linked Data Optimization), référencement sémantique



Le dernier point est une création Networkvb à la base du projet du même nom. Vous comprenez mieux pourquoi les bêta testeurs seront mis à contribution sur le futur pack 3, dit Linked data .


Avec les dernières évolutions de Google, la fin de son lecteur de Flux RSS et l'évolution de son moteur de recherches, on lit de plus en plus la fin des tags ou des mots-clés. Ce qui est bon pour Google, l'est-il pour nous internautes ?


Chez Networkvb, on prend le contre-pieds en pariant sur les flux RSS et les tags. J'ai pu entendre plus d'une fois qu'il y avait de la sémantique dans le référencement naturel et que par conséquent le référencement sémantique n'avait aucun sens. Les mots-clés (ou méta-tags) permettent en effet de donner un sens, donc une sémantique, du point de vue du référencement. Quand Networkvb parle de référencement sémantique, il ne se place pas du point de vue du référencement mais du point de vue de l'utilisateur et de son contexte d'utilisation. Dans le référencement naturel, le méta-tag sert à être le premier sur Google. Dans le référencement sémantique selon Networkvb, il sert à définir l'écosystème du contexte professionnel de l'utilisateur.


Pour simplifier, Networkvb traduit le référencement naturel comme l'optimisation de la donnée, le référencement social comme l'optimisation de la personne et donc le référencement sémantique comme l'optimisation de la donnée, de la personne et du contexte d'usage en un seul et unique tout. De facto, ceci implique un changement de pratique dans la création des sites web, notamment avec les micro-formats et le HTML5 dans l'attente de sa généralisation. Techniquement, le référencement sémantique est possible dès maintenant, tous les standards sont déjà définis et validés par le W3C. Chez Networkvb, le web sémantique se base uniquement sur les standards du W3C : RDFa, RDF, OWL, SPARQL notamment.







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jeudi 25 juillet 2013

Linked data : la fondation d'un nouveau web

Aujourd'hui notre dossier sur le web de données (linked data) va vous donner un aperçu de la réalité du concept à travers deux infographies : l'une montre la taille et la multitude des liens de données (traduction littérale de linked data) existant avec le nom associé. Vous reconnaitrez DBpedia qui organise sémantiquement le site Wikipedia. L'autre, vous montre les 5 règles conceptuelles définies par son auteur, Sir Tim Berners Lee, le créateur du Web en personne.








Ces deux images proviennent de Gautier Poupeau et de son site web " les petites cases "





Cette image dynamique de Sir Tim Berners Lee, nous est proposé par la BBC. J'ai choisi celle-ci, car elle correspond à l'état d'esprit dans lequel je m'investis dans le projet Networkvb et parce que pour moi c'est un modèle






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mercredi 24 juillet 2013

Une force de frappe de passionnés : les fans d'un projet.

Une pause dans notre dossier sur le linked data (web de données en français) que vous retrouverez dès demain. Aujourd'hui, je vais vous parler de la nouvelle approche de Networkvb avec sa nouvelle ligne éditoriale sur le blog que vous lisez.


Cette nouvelle étape a démarré le 15 juillet dernier, la promotion s'est faites uniquement sur Facebook et la fan page Networkvb, c'est le travail d'une vingtaine de personnes qui a donné ces résultats-là :





A l'heure où je vous parle, les données ont encore évolué vers le haut, chaque jour a battu le record absolu de la veille. Cette expérience avait pour objectif de préparer le lancement d'une campagne de financement participatif (crowdfunding) avec les moyens du bord : la passion, la persévérance, la patience et tout cela dans l'action.


Nous sommes partis de très loin, donc ça relativise les chiffres, mais pas l'engagement des personnes et ça ça ne se mesure pas, ça se vit.


Continuons l'aventure par un like sur la fan page Networkvb




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mardi 23 juillet 2013

La connaissance collaborative existe déjà : Européana, Wikipédia

Nous poursuivons aujourd'hui notre découverte du web de données en nous appuyant sur un projet européen : Européana projet culturel européen. Vous pouvez trouver la présentation Slideshare sur le sujet dans notre article d'hier " Le Web de données au coeur de Networkvb "











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lundi 22 juillet 2013

Le web de données au coeur de Networkvb

Nous passons à une nouvelle étape de la découverte du projet Networkvb à travers les concepts techniques qu'il utilise. Cette semaine, nous parlerons du web de données (linked data en anglais), qui est au coeur de la future offre pack 3 de Networkvb. Comme lundi dernier, c'est une présentation Slideshare qui va nous aider à mieux comprendre ce que c'est :







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dimanche 21 juillet 2013

Economie du partage et réseaux sociaux : une nouvelle dynamique pour Networkvb

Il y a un mois jour pour jour, Networkvb démarrait une nouvelle étape : la signature avec Optéos, une coopérative d'activité et d'emploi basée au Parc Euratechnologies où tous les grands noms des TICs s'implantent, IBM est le dernier en date.


Networkvb est arrivé à Lille grâce à la recommandation de Microsoft pour l'incubateur d'Euratechnologies, cette nouvelle étape a été possible grâce à la présence active de Networkvb sur les réseaux sociaux. Je me dois de remercier Magali et David de Co-factory, un espace de co-working sur Lille, puisque c'est grâce à eux que j'ai rencontré Séverine d'Optéos. Je ne serai pas complet si je ne citais pas Catherine Reflet qui m'a fait découvrir Co-factory.


C'est donc, cette notion d'économie du partage que l'on commence à voir apparaître qui est à l'origine de cette nouvelle étape pour Networkvb. Ainsi tout en restant au Parc Euratechnologies, Networkvb est passé de l'incubateur à la coopérative d'activité et d'emploi, avant de passer à l'ultime étape de la création d'entreprise pour la dernière étape. Networkvb se retrouve ainsi au coeur de l'économie du partage, non seulement avec son concept de connaissances collaboratives grâce aux données ouvertes (opendata), mais en se développant dans une coopérative grâce à un espace de co-working grâce aux réseaux sociaux.




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samedi 20 juillet 2013

Networkvb Academy : la connaissance collaborative

Networkvb Academy est l'un des cinq piliers du projet et sera lancé à Lille avec OPTEOS, une coopérative d'activité et d'emploi, fin septembre début octobre pour ses membres. Les dates n'ont pas encore été arrêtées, elles le seront dans le courant de la semaine prochaine.


Networkvb Academy sera l'espace de co-construction avec les clients Networkvb, car ils seront formés aux produits Networkvb.


Networkvb Academy accompagnera chaque membre de la communauté Networkvb qui le souhaite vers la maitrise de sa présence numérique, facteur de succès de son identité numérique.


Networkvb Academy dispensera des formations pratiques basées sur vos propres exigences, la seule théorie présente de la formation sera pour expliquer l'outil développé pour les besoins du formé.


Networkvb Academy relancera le " Chameleon Tour " pour faire étape à proximité de ses clients, les rencontrer, les écouter.




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vendredi 19 juillet 2013

Opendata : la première étape vers la connaissance collaborative

Ainsi s'achève notre première semaine et notre premier dossier sur les concepts fondateurs de Networkvb où vous avez pu avoir une définition de l'opendata sous différentes formes grâce aux précédents articles :


La présentation Slideshare : Networkvb lancera l'opendata privé

L'infographie : Networkvb veut faire émerger le potentiel de l'opendata privé
La vidéo Youtube : L'opendata, la première brique de la connaissance



Pour Networkvb, l'intérêt de l'opendata généralisé au web tout entier est de favoriser la connaissance collaborative.


La connaissance est un ensemble de données défini dans un contexte particulier pour un usage prédéfini. La donnée est l'atome de la connaissance. C'est l'alchimie que l'on crée entre les données qui donne naissance à la connaissance. Pour cela, il faut pouvoir accéder à la donnée en fonction du contexte et de l'usage que nous avons déterminé.


Dans ces conditions, nous avons besoin de connaître la partie invisible de l'iceberg pour améliorer la pertinence et la justesse des informations récoltées.


Plus vous bloquez l'accès, moins vos connaissances seront valorisées, car vous ne serez pas identifiés comme expert du domaine recherché.
Plus vous vous anonymisez, moins vous pourrez défendre vos intérêts, car la pertinence de vos connaissances seront mises en doute.
Plus vous multipliez votre identité numérique, moins vous êtes visibles, car la masse critique est plus difficile à atteindre.



L'opendata est donc une réponse naturelle et une première étape de la présence numérique et de notre identité, ce que Networkvb appelle la fusion personne-données. Netwworkvb milite pour la définition d'un cycle de données unifié, sécurisé, enrichi et totalement personnalisé. Vous êtes le responsable et le premier maillon de la donnée. Dans ces conditions, nous pouvons être prêt pour le Web de données, Linked Data en anglais, qui est l'objet de notre dossier hebdomadaire de la semaine prochaine.




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jeudi 18 juillet 2013

Networkvb : l'opendata, la première brique de la connaissance universelle

Nouvelle étape dans notre dossier sur l'opendata après une présentation Slideshare, puis une infographie ci-dessous :

Networkvb lancera l'opendata privé

Networkvb veut faire émerger le potentiel de l'opendata privé
Nous l'abordons aujourd'hui sous la forme d'une vidéo proposée par LiberTIC et la ville de Nantes :





Nous aborderons demain dans un article plus classique la vision de Networkvb dans le cadre de son propre projet.






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mercredi 17 juillet 2013

Networkvb : Opération YODA, réussissons ensemble.

Cela fait un peu plus d'un an aujourd'hui que le projet Networkvb a posé ses valises à Euratechnologies, grâce à Microsoft, pour pouvoir grandir. Je suis arrivé avec une volonté de fer, une combativité à toute épreuve, un nouveau départ pour un nouveau deal. J'ai tout quitté pour pouvoir me concentrer totalement à ce projet. Comme dans tout projet, il y a une part de risque quand l'on prend de telles décisions, surtout avec l'ambition qui était, est et sera toujours la mienne. Je n'ai pas fait tout ce que je voulais faire. J'ai mis beaucoup plus de temps que prévu. J'ai dû refuser des collaborations. Je n'ai pas toujours choisi les bons prestataires. J'ai appris beaucoup, j'assume totalement mes choix et je ne regrette rien, je suis très fier de ce que j'ai entrepris en partant de zéro dans tous les sens du terme.


Ce dernier point est sans doute l'élément le plus déterminant dans le projet Networkvb. Je ne me suis pas effondré, j'ai tenu la barre comme le capitaine d'un bateau contre vents et marrées. Ma première victoire est celle-là, car c'était au fond de moi ma plus grande crainte aussi. Je connais mes faiblesses, je sais utiliser mes forces. L'ambition pour Networkvb est intacte, elle est décuplé ces derniers temps par les résultats obtenus : Networkvb a changé, a évolué pour s'adapter aux contraintes. Cette première année, j'ai combattu mes faiblesses. A compter de ce jour, j'ai décidé d'attaquer avec mes forces. L'opération a commencé, nom de code YODA.


J'ai sollicité certains d'entre vous pour que dans le cadre de vos projets la bêta Networkvb soit une solution pour vous. A compter de ce jour, chaque projet retenu sera valorisé sur ce blog et fera appel à vous chers lecteurs pour la réussite de tous. Cela permettra concrètement de montrer les possibilités diverses et variées d'une solution tel que Networkvb.


Depuis Lundi, une nouvelle démarche a été lancé pour expliquer étape par étape, ce que sera Networkvb et la rupture qu'il apporte pour améliorer et valoriser votre présence numérique selon vos conditions et vos usages. Networkvb vous projette dans la lumière.




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mardi 16 juillet 2013

Networkvb veut faire émerger le potentiel de l'opendata privé

Nous continuons sous une autre forme notre dossier sur l'opendata, vous trouverez l'article précédent sur cette page " Networkvb lancera l'opendata privé " Dans notre découverte de l'opendata et donc du futur pack Networkvb correspondant, c'est Simon Chignard qui nous en dit plus avec l'infographie ci-dessous et le lien vers le texte plus bas


Vous trouverez le détail et l'explication de l'infographie sur le blog de Simon à cette adresse : l'opendata et son potentiel




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lundi 15 juillet 2013

Networkvb lancera l'opendata privé bientôt

Après le lancement de l'offre découverte, les participants pourront évoluer vers un autre pack qui aura la particularité de mettre à disposition vos données et vos connaissances selon les standards de l'opendata. On en parle beaucoup pour le domaine public, mais des entreprises aussi ont trouvé un intérêt d'ouvrir leurs données. Je laisse la parole à Eric Delcroix pour rappeler la définition de l'opendata au jour d'aujourd'hui avec la présentation Slideshare ci-dessous :







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mercredi 13 février 2013

Faites exploser votre Big Data

Les articles sur le " Big Data " se multiplient ces derniers jours et d'une manière générale sur l'importance de la donnée dans l'entreprise. Cette dernière est considérée comme l'or noir du XXIème siècle. Je vous le confirme.

Vous allez me dire : Pourquoi un article sur le sujet si je suis d'accord, que vais-je apporter de plus ? Je vais simplement vous parler un peu plus précisément du projet Networkvb que je porte depuis un moment déjà à la lumière d'une étude de Lecko. Cette dernière confirme la tendance que Networkvb avait senti à l'origine de son projet.

Paradoxalement, qui dit explosion, dit éparpillements d'une multitude de morceaux, or Networkvb est une plate-forme qui agrège et consolide votre présence numérique en un point central. Networkvb vous propose donc votre propre espace, votre propre encyclopédie et votre propre champ de recherches où vous avez un accès total pour une diffusion sur votre réseau numérique sur le modèle : une information pour une diffusion à une personne. Networkvb, c'est une connaissance très fine de votre réseau, de vos préférences.

Pour en revenir au " Big Data ", on considère que c'est une affaire de grands groupes qui gère des milliards de milliards de données chaque jour. Pour Networkvb qui vous proposera bientôt une solution sur-mesure à la demande à chacun de vous, à partir du moment où il vous est difficile de gérer toutes vos données, que vous êtes toujours à la recherche d'un outil, que vous utilisez une multitude d'outils pour faire comme vous pouvez, Networkvb considère que vous avez atteint votre " Big Data " et c'est à ce problème que Networkvb veut répondre.

La bêta aura pour objectif, à partir de vos données Facebook, de vous montrer le potentiel professionnel que vous avez sans le savoir, même ceux qui l'utilisent uniquement pour jouer, il existe bien le " serious game ". En préparant la bêta, je me suis rendu compte que même avec un petit réseau comme le mien, j'avais atteint mon " Big Data " et que je ne soupçonnais même pas la masse d'informations à ma disposition en utilisant une dizaine d'outils Web 2.0, et par conséquent pour mon propre réseau aussi.

La pré-inscription se fait uniquement sur Networkvb. Lors du lancement, j'utiliserai mes données et celles des bêta testeurs pré-inscrits comme exemple de ce que vous pouvez obtenir. A partir de là, des invitations en nombre limité seront proposées aux bêta testeurs pour le lancement effectif de la solution.




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vendredi 25 janvier 2013

Networkvb, un an après ...

... En effet, cela fait un an que j'ai présenté le projet Networkvb pour bénéficier des services de l'incubateur Euratechnologies de Lille sur recommandation de Microsoft France. A cette occasion, j'avais dit qu'il me faudrait un an pour mener mon projet. Je suis entré à Euratechnologies le 20 février 2012.

Aujourd'hui, comme cadeau d'anniversaire, je lance les pré-inscriptions pour la version bêta et le compte à rebours pour le 20 février 2013. Pendant cette période, je vais approfondir les tests faits en alpha privé. L'objectif est d'arriver à 1000 bêta testeurs.

Le 18 mars 2013, le lancement du Virtual Chameleon Tour, qui me verra parcourir la France à votre rencontre jusqu'au 30 avril 2013, sera la fin officiel de la bêta.

Pour participer, vous devez être fan de la page Networkvb

Nous devons être en contact direct sur Facebook.

Vous pouvez participer au Virtual Chameleon Tour dans votre ville, les participants étant d'office bêta-testeurs. Inscription en précisant votre ville souhaitée : Evènement Networkvb Facebook

La pré-inscription sera annoncée sur le site web Networkvb.




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mardi 1 janvier 2013

LES 3 PILIERS DU REFERENCEMENT WEB : naturel, social et sémantique



En terme de référencement, je n'ai rien fait de particulier pour promouvoir mon projet Networkvb, j'ai simplement assuré une bonne présence de mon identité numérique.

Toutefois, j'ai récemment été interpellé sur ce sujet par un collègue d'Euratechnologies-Lille où je suis incubé. De ce fait, je me suis rendu compte de l'intérêt pour Networkvb de s'y intéresser davantage.

A cette occasion de cette discussion, on pouvait voir l'évolution du référencement pour les prochaines années. Le référencement naturel va évoluer, voire muter. En se basant sur Google, les professionnel du référencement sont confrontés à certains problèmes du au fait que les réseaux sociaux sont intégrés de plus en plus au résultat, faisant de facto chuter les résultats du référencement de certains sites web. De ce fait, il faut donc ajouter le référencement social au référencement naturel pour avoir de meilleurs résultats.

Conscient de ces enjeux, Networkvb va plus loin et parle de référencement sémantique. Là encore, Google a commencé depuis l'année dernière a intégré cet aspect et favorise le développement de schema.org la technique utilisée pour le web sémantique. Networkvb privilégie les standard du W3C. Les professionnels du référencement sont confrontés à un détournement du trafic au profit de Google grâce à schema.org pour afficher une réponse pertinente directement dans le moteur.

Avec les réseaux sociaux, l'opendata et le bigdata, nous sommes obligés de trouver des alternatives à la gestion de la profusion des données. Networkvb a fait le choix du web sémantique et du linkeddata (Web de données). Ce dernier concept a été défini dès 2006 par Sir Tim Berners-Lee le père du Web, il s'appuie sur le développement du web sémantique et les standards du W3C.

Networkvb travaille sur la réappropriation par chacun de la gestion de ses propres données et sur la nécessité de trouver une alternative dans la recherche de celle-ci fasse à Google. Dans le cadre d'une recherche concentrique, Google devrait être la dernière solution pour trouver la bonne donnée. Face aux trois piliers du référencement (naturel, social et sémantique), nous avons les trois piliers du réseau (intranet, extranet et internet) et donc pour la gestion des données nous avons trois piliers (intranet naturel, extranet social et internet sémantique). Nous ne devrions plus être dans le référencement de pages web, mais dans le référencement de données, voire de connaissances.




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